Samedi 24 juin - 17h30
« Un monde sans oiseaux est inimaginable »
Ces mots de l’écrivain Jean Rolin dans le Traquet kurde paru en 2017 ont conduit Solen Henry sur les routes des oiseaux migrateurs et des hommes qui les suivent. Avec son solo de vélo acrobatique – accompagné de Sébastien Gazull au piano et au chant – l’artiste cherche un chemin entre Baudelaire et Perret, entre Poelvoorde et Fugain où l’on parlerait de disparitions et de migrations en poésies et en chansons.
Ici, le vélo symbole du voyage tourne en rond et fait du surplace. Une belle métaphore que nous offre le cirque pour prendre de la hauteur sur un sujet d’actualité.